Notes * = site en français 
 
    1 - Je dois cette formule à J.-P. Millioud, titulaire du G.O. de St-Louis à Versailles.

    2 - tous, sauf, bien sûr, les orgues de salon et de rares orgues d'églises fabriqués "en série"...

    3 - Réharmonisé lors de la restauration de Marcussen & Sons en 1960.

    4  - Moi-même n'étant pas encore allé voir cet orgue de près, je ne fais ici que constater les effets qu'il a provoqués sur les personnes qui s'y sont rendues.

    5 - cf. "Voyages of discovery: part 2 - Alkmaar" de Stephen Bicknell

    6 - Il contient 4 jeux doux.

    7 - Ceux-ci lui valurent une gravure dans le traité de Dom Bédos de Celles "L'Art du Facteur d'Orgues".

    8 - Remarquez qu'il n'a jamais été prouvé physiquement que l'ivoire sonne mieux qu'un alliage plomb-étain, ni, de manière générale, que la qualité du matériau influe sur la sonorité d'un tuyau à bouche (on préfère toutefois l'étoffe au zinc électrolytique)...

    9 - et des plus originales. Pour certains, elle fait du Gabler de Weingarten le premier orgue romantique allemand.

    10 - Mixture de 49 tuyaux pour le Do grave de la Pédale.

    11 - ... de nombreux jeux de mutation flûtés (tierces et cornets) et un tempérament légèrement inégal.

    12 - qui sont sûrement les plus illustres facteurs français des respectivement XVIIIe et XIXe siècles.

    13 -  cependant, il est considéré un peu à part dans la production de cette période à cause de son indéniable lien avec l'orgue classique français (il contient encore beaucoup de mutations et mixtures, et les anches de Clicquot).

    14 - Ce concept plaît beaucoup à la facture moderne, comme l'illustre le bel instrument Théo Haerpfer 1994 en la basilique de Saint-Nicolas-de-Port (54).

    15 - d'après l'article de Pierre Rochas publié dans la série Orgues Historiques : Musique de tous les Temps n°21, novembre 1962.

    16 - Visitez son très beau site "À la découverte de l'orgue : orgues d'Alsace".

    17 - C'est ce dernier qui fit supprimer le Positif de dos, offusqué de voir cohabiter le style Louis XVI du petit meuble avec le style Louis XV du grand buffet !

    18 - Devant le manque de place, Cavaillé-Coll choisit de multiplier les mutations (peu encombrantes), ce qui confère à cet instrument une certaine originalité face au reste de la production du facteur.

    19 - Retenons l'extraordinaire batterie d'anches en chamade.

    20 - En 1989 il a cédé ce titre au Van den Heuvel de St-Eustache. Bien que ce dernier possède moins de jeux, l'étendue de ses claviers et sa richesse en rangs le font dépasser celui de Notre-Dame en nombre de tuyaux.

    21 - Que de grands noms ont officié à cette prestigieuse tribune ! des Racquet aux trois L (Latry, Lefebvre, Leguay), en passant par Daquin, Balbastre, Séjan, Beauvarlet-Charpentier, Vierne, Cochereau...

    22 - Quatre fois plus que le plus grand orgue français (St-Eustache, Paris).

    23 - Il est amusant de noter que personne ne semble connaître les chiffres précis...

    24 - une part de la tuyauterie est plus ancienne : Schnitger a réutilisé 8 jeux provenant d'un orgue Scheerer du XVIe s.

    25 - Malgré l'importance de la production d'Arp Schnitger (160 orgues, dont près de 100 neufs en quarante ans d'activité), rares sont les instruments qui sont arrivés jusqu'à nous avec leur matériel sonore préservé : citons avec Cappel (1680), Steinkirchen (1687), Hambourg St-Jakobi(1693), Uithuizen (1701) et Groningen Aa-kerk (1702).

    26 - Gilles PIERRET dans le livret de l'enregistrement Les Organistes Postclassiques Parisiens par Nicolas GORENSTEIN, chez Syrius.